« Nous ne sommes pas complètement hors-sujet, disons en amont du sujet, à
savoir les raisons pour lesquelles certains en arrivent à des
comportements aussi aberrants que de faire couper le frein de la langue à
leurs enfants. »
Et bien sûr, c’est la faute de l’anglais, et non pas, comme un observateur distrait tel que moi aurait pu croire, la faute de parents complètement cinglés, obsédés par la réussite sociale de leur enfant au point d’abandonner toute considération de bon sens.
Typhon