« La valorisation de son capital humain. »
Tout est dit, l’être humain appartient à l’entreprise, qui se doit de le valoriser, l’article se veut progressiste, IBET pour mesure le bonheur au travail, mais la terminologie employée est sans appel, dans l’entreprise l’homme, la femme sont propriété de celle-ci, elle est tellement bien qu’en plus de son salaire elle pourra lui offrir une note (de 0 à 20 ?), un indice de bien être, on vit une époque formidable.
A quand un patron qui éclatera de rire quand un de ses employé(e)s lui dira « je ne suis pas venu(e) travailler hier, j’ai préféré rester avec mon conjoint pour faire l’amour et me détendre », et qui lui répondra, « vous avez bien fait la vie est trop courte pour la vendre à un chef d’entreprise aussi parfait soit-il ».