10 millions de mort, pire que 10 millions de chômeur ?
Entre une lente agonie, sans espoir de s’en sortir, une souffrance diffuse, et la mort, la non existence, le simple néant, je pense au contraire que la mort est largement préférable.
Autant aller une fois de plus à la boucherie, si on peut détruire toutes chance de bonheur pour ces crapules.