je dois avouer qu’en lisant cet article je me suis dit que le jugement posé ainsi sur les êtres, seraient-ils travaileurs d’usine pensant qu’ils n’ont pas d’autre choix, ne pouvait pas être très productif, car ceux qui auraient cette tendance larbinesque ne pourraient pas le reconaitre.

Soyons justes... nous sommes tous des larbins

nous ne nous sommes pas autocréés

nous sommes les larbins de l’univers, ses mains et ses paroles, tous dépendants de ses lois harmoniques d’équilibre et des merveilles qu’il a engendré.

ou alors des larbins du système et de toutes les horreurs que sa machine de guerre fait subir aux êtres.

Le pire crime de la machine de guerre étant probablement de prétendre être l’univers lui-même

et de nous faire croire qu’en étant larbins du système nous serions justement axé dans notre devoir d’être vis-à-vis de l’univers.

Mais le seul devoir que nous ayons est de préserver la bonté naturelle de l’être,

attaquée en permanence par un bon million de manières par le système.

En retour, très souffrants, nous balançons nos jugements sur nos frères.

Et c’est un cercle vicieux savamment entretenu à Babylone, parfait pour la sclérose et l’oubli de l’unité de la vie et de l’humanité en son sein.


Non, Babylone décrète qu’on peut construire un monde (une camisolle de force) par-dessus le monde.

En plastique et en chrome s’il vous plait, on repeint les océans en noir de nos jours.


Bien triste spectacle qu’offre le système par l’entretien de toutes nos peurs, celle d’être un larbin en faisant partie, attaquant la nature généreuse- même des êtres, car il n’y a rien de plus naturel à l’être qu’être soumis aux puissances harmoniques de l’univers et de ne pas se prendre pour l’intelligence créatrice des mondes, mais de vouloir apprendre d’elle.

Triste spectacle en effet la machine à massacres englobant les occidentaux, mille écrans en renforts, prétextant avoir les solutions militaristes toutes prêtes pour les problèmes engendrés par elle-même...

plutôt que de tenter de les effacer par la tendresse, le partage et l’entraide. 


merci à l’auteur d’avoir soulevé sur ce constat.