L’important est que tous ces pseudo rigolos soient payés par l’argent des contribuables.
Si les Guillon et autres Porte étaient sur des médias privés (ils ne le seront jamais), ils ne tiendraient pas une minute.
Sur les media privés, la sanction du client est sans appel et immédiate.
Notons que l’audience des radio du service public tourne autour 26,3% alors que les radios privées commerciales sont à 68,4%.
L’anti sarkozisme des radios du service public est en berne. Allons nous continuer à payer pour ces branleurs ?