"Prenons le cas des retraites. Dans l’esprit de ses fondateurs, la
retraite était une assurance de fin de vie pour que les parents ne
soient pas individuellement à la charge de leurs enfants. L’espérance
de vie étant passée, en quelques décennies, de 68 ans à 80 ans, il est
donc logique de reculer l’âge de départ en retraite car partir à 55 ou
60 ans, c’est très loin, fort heureusement, de partir en fin de vie. De
même, il est logique de rallonger proportionnellement la durée de
cotisation« .
Il convient de cesser de considérer le temps de travail, l’âge de départ en retraite à 60 ans ainsi que le concept de
»retraite par répartition" comme des horizons indépassables et de
remplacer ces concepts par celui de l’instauration d’une Allocation Universelle transitoire suivie de la génération d’un Dividende Universel permanent et évolutif, « fonds de pension national »
solidairement et collectivement géré par une structure spécifique,
indépendante de l’État et représentative des
citoyens-électeurs-contribuables, qui transformera l’actuel capitalisme
en un Capitalisme Anthropocentrique, Philanthropique et Équitable.
(cf. Mémoires présidentiels : 2012 - 2022)
Bis repetita placent...
La liberté d’expression
permet aux « anti-capitalistes » et aux « anti fonds de pension », et
cætera, de répéter inlassablement leurs mêmes antiennes rétrogrades,
affirmations indémontrées et non étayées par des observations tangibles.
Donc,
n’en déplaise à beaucoup, la même liberté d’expression m’autorise
également à répéter tout aussi inlassablement mes propres propositions
progressistes.
Un nanti capitaliste.