@ Zen
Je ne comprends pas votre réponse. N’est-elle pas contradictoire ? Éloigner de l’enseignement formel, dites-vous, et « retrouver le plaisir du texte, l’envie de lire ».
« Le plaisir du texte » peut-il être une fin en soi ? N’’est-ce pas ce qu’il y a de plus formel qui soit ? N’est-ce pas regarder le doigt quand il montre la lune, ou même quand il ne montre que le vide, comme un tableau blanc par exemple ?
En ce qui me concerne, ne m’intéresse que le texte qui m’apprend quelque chose.
L « aboli bibelot d’inanité sonore » de Mallarmé m’a toujours barbé ! Paul Villach