@Franz Ferdinand Von FritzenSouchern
La remarque de Docdory est pertinente, et je ne pense pas qu’il faille la prendre comme une critique de mauvaise foi. Ce n’est pas seulement la presse audio et écrite qui est chargée par la présence du divin et de destin, mais également la langue de tout les jours, qu’elle soit un dialecte apparenté à l’arabe (celui du maghreb) ou de l’arabe du machrek(non littéraire). Il ne faut pas oublier qu’il y a des conflits entre certains Etats pour asseoir leur domination culturelle sur le monde arabe, voire musulman ; ce qui entraine des difficultés pour se mettre d’accord sur des termes nouveaux, ou la traduction termes scientifiques, techniques etc des autres langues et notamment l’anglais ou le français. La prononciatin n’est pas unifiée pour certains termes.
Il ne faut pas voir dans l’arabe une langue abstraite (et romantique) dénuée d’arrières pensées, et qui ne véhicule pas une idéologie.