Le fait est qu’on a interdit les CFC pour protéger l’ozone sur la foi de réactions chimiques étudiées en laboratoire, et non dans la haute atmosphère réelle, où les conditions sont bien différentes. Le fait est aussi qu’on s’est aperçu du trou d’ozone au moment où on a eu des satellites pour l’étudier, et qu’avant ça, il existait sans doute déjà, mais n’inquiétait personne.