Plus le niveau d’instruction devient élevé dans un pays, moins les femmes font d’enfants. D’un côté on nous apprend ce fait, et de l’autre on demande ensuite aux femmes de faire de plus en plus d’enfants, parfois dans les pays mêmes où les crédits affectés à l’éducation subissent des coupes drastiques...
Si l’on incite par des mesures diverses et variées les femmes à faire plus d’enfants (dont certains ne seront peut être pas vraiment voulus, mais conçus pour l’attrait des avantages qu’il donnera, comme la facture d’électricité...) uniquement pour pas qu’une « race » s’éteigne, ou pour entrer en compétition avec le taux de natalité du pays voisin, c’est vraiment désolant. Nous sommes déjà presque 7 milliards sur Terre, on n’arrive déjà pas à résoudre les problèmes actuels, et on nous passe le message qu’il faudrait absolument qu’on soit beaucoup, beaucoup plus nombreux pour que ça aille mieux ?
On se dirige tout droit vers cette surpopulation que l’on redoute pour les prochaines décennies, que certains refusent de prendre en considération, alors que je suis persuadée que l’avenir donnera raison à ceux qui nous ont mis en garde à ce sujet, si en effet on laisse la population mondiale augmenter comme ça de façon exponentielle.
Imaginons nous à douze milliards, par exemple... Comment va-t-on nourrir tout le monde ? Comment va-t-on loger tout le monde ? Comment va-t-on éduquer tout le monde ?
D’un côté on nous parle des réserves de la planète qui s’épuisent à vitesse grand V (sans parler de la répartition des richesses) et de l’autre, les gouvernements nous passent le message qu’une population élevée, c’est l’avenir assuré...