J’ai habité dans 20 ans dans une cité très très chaude du 93 (un département sinistré) de 1979 à 2000. A mon époque on ne brulait que moyennement des voitures, par contre les jeunes se plantaient et se tiraient d’avantage dessus qu’aujourd’hui.
Les gens qui vivent agréssés par le béton ont une violence refoulée en eux, due à leur environnement.
A d’autre période, on envoyait des générations entière de jeunes faire la guerre et mourrir au combat.
La violence est humaine, et l’homme qui vient d’attendre l’age adulte et sort de l’adolescence a souvent du mal à la canaliser.
Les trente glorieuse sont, à mon sens, un parenthèse de bonheur qui ne trouve de justification que parce qu’elle vient après une période très sombre de guerre.
Je n’ai pas l’impression que la violence soit plus presente chez les individus, tant elle marque l’hstoire de l’humanité. Simplement arriver à un degré de violence zero me parait inatégnable. je pense etre fataliste, mais il faut s’y faire.