A propos de VOŘIŠEK, il a été l’élève de TOMÁŠEK à Prague. Et, vérification faite, ce dernier a bien théorisé une transposition musicale des formes de la poésie grecque : dithyrambe, églogue et rhapsodie. L’Opus 1 de VOŘIŠEK, publié à Vienne en 1818, est d’ailleurs fait de 12 rhapsodies au piano dédiées à TOMÁŠEK. Mais les critiques viennois les ont jugées « peu rhapsodiques » car elles prenaient la forme de récits épiques rigoureux en plusieurs tableaux alors qu’à Vienne la rhapsodie était déjà considérée comme une fantaisie libre.