les termites sont à l’oeuvre, laissant le décor en semblant de normalité, mais bouffé de l’intérieur, manque plus que le coup de pied pour tout faire tomber en sciure... viendra-t-il d’un politique, ou du peuple lui-même ? à partir d’un certain moment, les mots n’ayant aucuns pouvoir, la force ne peut-être que l’alternative, et là vaut mieux ne pas être entre le poing et la tête...