Un élément supplémentaire pour être complet : la responsabilité de l’homme politique.
Celle-ci intervient à plusieurs niveaux :
* les moyens de la justice (on se situe, par rapport à la moyenne européenne, à un des taux les plus bas en la matière)
=> affaires bâclées ou ignorées faute de temps, culture de l’aveu privilégiée face aux preuves scientifiques, la misère du pénitencier (une honte pour la France)
* l’engorgement législatif (plus on se sait inutile, plus on en fait), les réformes successives :
=> des strates de textes qui se rajoutent en se contredisant parfois, sans soucis de cohérence.
* la rancune envers la justice de certains députés impliqués dans certaines affaires
La commission parlementaire est-elle apte à donner des leçons aux institutions judiciares et médiétiques ?
Ne devrait-elle pas « s’auto-interroger » ?