Dans mon propos, il n’a jamais été question de légiférer sur les consciences ! L’idée est que la société est l’image de ses membres et que changer les esprits est possible, mais bien entendu pas avec des lois...
Les scandales comme celui d’Outreau doivent nous interroger tous, notamment sur notre besoin de voir des coupables désignés immédiatement.Sevand