Beaucoup d’artistes mâles vénèrent leur machin qu’ils dessinent, peignent et auto moulent dans toutes les matières.
Certains peignent même avec leur sperme.
Sans compter que dans de nombreuses civilisations, le pénis, le phallus est adoré, vénéré, représenté partout, chez les Jpaonais entre autres.
Qu’un artiste ait vendu un pénis en or à Mme Bettencourt amatrice d’art n’a rien de surprenant.
Souvenez vous de la mise aux enchères de la collections d’objets pornos de Michel Simon. Qui s’est moqué de ses goûts « artistiques » ?
Et qui, connaissant la sensibilité des muqueuses féminines peut imaginer un instant qu’un pénis dur, froid, rigide puisse être utilisé pour un plaisir intime ?
Il y a suffisamment de choses à reprocher à Mme Bettencourt, et des plus sérieuses, pour ne pas faire oublier les accusations dont elle fait l’objet en attirant l’attention sur des fantasmes très masculins qui ne se rapportent qu’à leur propre fondement