ah oui, c’est la description d’une zone de guerre là, le seul problème aujourd’hui c’est que ces établissements là sont de plus en plus nombreux, les élèves sont pire chaque année et les jeunes enseignants ne sont pas armés contre ça
je pense que ce n’est pas la vocation mais plutôt la peur du chômage qui les attire dans l’EN, mais si c’est pour vivre un tel enfer autant voler...