Tout cela fait songer à d’antérieures catastrophes sanitaires annoncées : tout le monde savait mais les intérêts économiques ont prévalu... C’est justement pour cela qu’il faut le dénoncer, quitte à jouer les Don Quichotte. En remplaçant les moulins à vents par des machines à profit, le résultat est a priori le même : on n’a aucune chance. Quoique. Un jour, une journaliste nommée Anne-Marie Casterets, qui était à l’Evénement du Jeudi quand j’y faisais mon apprentissage de petit journaliste stagiaire, sortit l’affaire du sang contaminé... Il y eut l’amiante aussi, évoquée dans le papier. Et un commentaire renvoie aux OGM ! Ouvrons notre gueule, sans toutefois avaler des couleuvres.