Parmi les arguments que j’oublie, vu qu’il n’y a plus la moindre trace des études sur ce système, le suivant : lancé à pleine allure, l’aérotrain le plus aérodynamique, s’il coupe son moteur principal et ne fonctionne plus que sur un moteur annexe se chargeant d’assurer l’entretien du coussin d’air, doit pouvoir de cette manière franchir près d’une dizaine de kilomètres, assurant ainsi le traversées urbaines en silence.
Un bon ingénieur peut il répondre à cette question d’inertie des mobiles hors frottements mécaniques ?