Il serait peut-être intéressant de se pencher sur la question suivante :
la peine de mort, soit.
Elle peut, dans certains pays, servir de peine (définitive) applicable à un meurtre.
Mais il me semble que la peine de mort par lapidation est une peine appliquée préférentiellement à le femme convaincue d’adultère.
Dans ce cas, donc, il me paraît évident que derrière l’accusation officielle de meurtre, c’est bien le message de la condamnation officieuse de l’adultère qui se trouve renforcée.
Personnellement, j’y vois un message aussi subliminal qu’abject.