Bonsoir, C Barratier.
Faire payer à la France le poids de ses fautes, certes. Mais en l’occurence, la SNCF n’était pas la France, mais une entreprise soumise aux ordres de l’occupant et d’un régime complice. C’est d’ailleurs ce qu’a confirmé le tribunal d’appel de Bordeaux dans l’affaire Lipietz en confirmant la condamnation de l’Etat mais en relaxant l’entreprise.
Quant à Sarkozy, de quoi a-t-il l’âme ???