Bonjour Georges,
Vous résumez assez bien le livre d’Onfray qui mérite d’autant plus d’être lu qu’Onfray brûle ce qu’il a adoré. C’est donc bien un ouvrage iconoclaste. La seule question que je me pose est relative à cette ardeur que met Onfray à déboulonner l’idole (peut être même son idole). La vindicte et parfois la rage sont telles qu’on dirait parfois qu’il y a entre eux un contentieux, ce qui manifestement ne peut être le cas.
Le parallèle Freud/Kouchner il fallait oser, mais pourquoi pas ?
Vous êtes médecin et vous exercez en Afrique (en quelque sorte la chasse gardée du ’gentil docteur’). Avez vous aussi des comptes à régler avec B.K. ?
Cela dit je ne désapprouve pas ce que vous écrivez sur Kouchner, il manque d’envergure et ferait bien d’aller faire un tour chez les disciples de Freud pour cerner ses motivations profondes.
Au final je plussoie votre article.