Sauf que cette période d’augmentation de richesse touche à sa fin : avec la crise énergétique qui vient de commencer (le peak oil est passé), nous allons assister une diminution de la croissance puis une stagnation pour arriver en décroissance avant 2030.
Comme les gains de productivité sont basés sur l’automatisation, elle-même dépendante de la quantité d’énergie disponible, alors à un moment donné nous constaterons une diminution globale de la productivité qui pourra se concrétiser par une augmentation du chômage et du travail manuel.
Bonne nouvelle : ça n’aura pas d’impact sur le financement des retraites dans la mesure ou une conséquence de ce fait est la diminution de l’espérance de vie.