Ceci dit, je partage assez les analyses de M. Asselineau.
Il aurait pu ajouter que l’autoritarisme illégitime de la Commission européenne est d’autant plus choquante qu’elle va bien au-delà de ce qui se passe dans une fédération en principe plus unie encore comme les USA.
Nous n’avons besoin d’aucune instance pour nous dicter qui nous laissons pénétrer sur notre sol, ce que nous faisons en matière de commerce ou de finance, encore moins pour se substituer à nos tribunaux et nous imposer un « droit européen » supranational.
Alors c’est bien beau de s’en prendre exclusivement au système financier, mais le problème réside dans la souveraineté.
Elle est ou elle n’est pas. Et une nation, par voie de ses gouvernants, n’a guère plus de droit de se défaire de sa souveraineté que n’aurait un individu de se vendre comme esclave.