Le petit Nicolas se promenait dans la forêt avec son petit panier à provision. Y’avait dedans un cadeau de grand’maman Liliane : un tout petit miliion parce qu’il le vaut bien et la galette des fonds de pension du peuple des rois des cons. Nicolas tenait à la main le billet doux de sa promise « Ach ! meine pitite Nicolas, je me languis d’amour pour. Rétrouvez-moi dans ma kleine Zimmer. » Il arriva devant la maison de sa bienaimée mais la porte ne s’ouvrit pas :
« Angela l’attendait là, dans son lit, grimée en grand méchant look. Elle lui cria : Tire la talonnette et l’oreillette cherra. Nicolas tira la talonnette et la porte s’ouvrit. »