Et c’est bien là le problème évoqué.
N’est pas le rôle de Sarkozy de mettre en place une réforme pérenne qui satisfasse aux principes de justice sociale.
Travail bâclé par un président trop pressé de donner des gages aux gros prêteurs, qui sont aussi les banques qu’il a sauvé en creusant le déficit d’un manière catastrophique pour le pays.