Se beurrer la cafetière au beaujolais nouveau ne peut être qu’une lamentable chose : soit il est, plus forte probabilité, de la pisse de vigne baptisée vin et c’est du masochisme, soit, rara avis, il est sincère et c’est du gâchis.
Et puis, ça fait arsouille, poète maudit et intello branché de faire l’apologie de la cuite, du joint ou de la ligne. Mais ça n’a jamais donné de talent à ceux qui n’en ont pas ni d’esprit à ceux qui voudraient en avoir.