Merci d’avoir précisé. Effectivement, le plaisir prostatique n’est pas réservé aux seuls homosexuels, et heureusement !
Je pense que la pudeur des hétérosexuels est plus liée à la peur de perte de virilité qu’à la peur de « basculer » dans l’homosexualité.
Peut-être faudrait-il rapprocher ces mœurs de celles existant dans la Grèce Antique, ou le sexe occupait moins d’importance que le fait de pénétrer ou d’être pénétré.