Bonjour, Georges.
Pour ce qui est du sort des filles au 19e siècle, nous sommes bien d’accord, et cela ne valait évidemment pas pour la seule Allemagne.
Pour ce qui est de Fanny Mendelssohn, je ne parlerais pourtant pas de « triste destin » car si son sort a été injuste eu égard à ses aptitudes remarquables et à son désir de consacrer sa vie à la musique, elle n’a pas été malheureuse, entre un frère qu’elle chérissait et dont elle se réjouissait du succès, et un mari qu’elle aimait et qui faisait tout pour la soutenir dans la création musicale.