Tout
cela a justifié des interventions militaires, pour défendre des intérêts
stratégiques, financiers et économiques. Cela a aussi permis au nom de la
guerre contre le terrorisme de développer la surveillance des citoyens au nom
de la sécurité et de la liberté. Comme pour l’assassinat de Kennedy, l’on ne
saura peut-être jamais la vérité, mais de nombreuses zones d’ombres demeurent.
Comme dans toute enquête il faut répondre à la question : à qui profite le
crime ?
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