Claude Simon, où ai-je dis qu’il ne fallait pas pratiquer une politique de relance économique ?
Bien au contraire, j’ai appelé à une hausse des impôts pour les
responsables de la crise (schématiquement, actionnaires, banquiers et
rentiers fortunés) pour, à la fois, ne pas endetter encore plus le pays
et disposer de moyens pour une politique économique active.
C’est à dire que je préconise une politique totalement inverse de celle qui est suivie actuellement.
Mais je ne me fais pas trop d’illusions, les dirigeants actuels (et j’ai
bien peur que les futurs ne soient du même tonneau) ne sont pas au
service de l’ensemble du peuple français, mais au service d’une petite
minorité, celle justement que j’aimerais frapper au porte-monnaie.