Oui, il est affligeant de constater que dans ces systèmes de rétribution imaginés par les « marchands de l’art » le « consommateur » soit toujours à priori un voleur...
La technologie permet aujourd’hui un rapport très direct entre les créateurs et leurs publics, il convient de trouver les solutions pour permettre la rétribution des artistes et l’émergence de nouveaux projets. si le marché y trouve une place tant mieux, si non tan pis, c’est au public, aux mouvements artistiques et à l’état d’animer ce moteur de l’imagination collective, rouage essentiel de la société, qu’est l’art.