@ Emile
Sur ce chapiteau du « Veau d’Or », le démon chevauchant le taureau montre le ciel de l’index de la main droite et indique le chiffre 4 de la main gauche. Ne s’agirait-il pas là d’une condamnation globale des quatre évangiles par ceux qui ont fait sculpter les chapiteaux ?
Le phénomène des « craignants-dieu » est peut-être très sous-estimé que ce soit en Gaule ou dans l’ensemble du Bassin Méditerranéen. L’Evangile de Luc leur étant spécialement destiné, cela expliquerait pourquoi celui-ci est particulièrement condamné à Vezelay et présenté sous la forme d’un nouveau « veau d’or ».