Bonjour, JL.
Globalement d’accord avec le contenu de cet article. Et plutôt d’accord avec Lordon, à cette différence que je ne parle pas d’esclaves (ni tristes ni gais) mais, pour la majorité des salariés de prostitués, dans la mesure où, contrairement à l’esclavage, la prostitution s’appuie, au moins partiellement, sur un choix.
« Seul le plaisir exonère de la prostitution » ai-je écrit naguère. C’est pourquoi nous sommes tous des prostitués dès lors que nous ne travaillons plus pour le plaisir, mais que nous vendons à contre-coeur notre tête, nos muscles ou notre cul contre rémunération. Dur constat !