« Les appointances de Berlusconi sont tout de même très très dangereuses... »
Il convient quand même de noter qu’en Italie, on n’observe rien de comparable à cette hystérie anti-fasciste qui semble être une catactéristique exclusive de la politique française.
Lorsque Berlusconi s’allie avec Fini, alors secrétaire du Mouvement social italien (MSI), parti fondé par des survivants de la République sociale italienne, c’est un peu comme si, en France, Chirac s’était allié avec Le Pen.
On imagine d’ici le tintouin médiatico-gauchard qui en eut résulté. Et bien, en Italie rien, rien de rien... Les relations de Berlusconi avec la droite extrême ne sont donc pas pathologiquement perçues comme elles le seraient en France...