Il faut ne rien connaître à la société italienne pour y transposer l’esprit d’inquisition à la française qui consiste à fabriquer le diable pour se donner le beau rôle d’un ange exterminateur.
La soeur latine n’est pas une petite soeur : elle se défend très bien car le mal est l’a connu. Rappelez-vous du cas de l’assassin fuyard Battisti, soutenu par les belles âmes du faubourg Saint-Germain, et traité pour ce qu’il est par l’Italie entière de Luciano Violante à Roberto Castelli
(Au passage un hommage à Gilles Martinet qui aimait assez l’Italie pour l’avoir compris et exprimé dans un de ses derniers textes).