En même temps, des sites comme Agoravox, il n’y en a pas beaucoup...
La réponse, c’est que ce que recherche Wikileaks auprès de ce type de partenaire, c’est la capacité d’analyse : lire des dizaines de pages de documents, et en extraire de l’information publiable. Pas évident qu’Agoravox ait la capacité de faire ça !