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En réponse à :


A (---.---.64.182) 15 avril 2006 20:51

Laetitia Rettori dans Société Civile n°56 (mars 2006) prédit que Prodi ne remettra pas en cause les grands choix de politique économique : http://www.ifrap.org/0-ouvrirlesite/Enquete-Italiens-Francais.htm

EXTRAITS :

"La transformation de l’Etat italien a commencé dès 90 mais a connu une phase d’accélération sous le gouvernement Prodi (mai 1996 - oct 1998) qui a permis l’obtention des résultats les plus spectaculaires. Aujourd’hui encore, le processus se poursuit avec des conséquences positives sur l’ensemble des finances publiques italiennes.

La dette publique est ainsi passée de 125% du PIB en 1994 à 106.6 % du PIB en 2004. Ces chiffres sont encore loin d’être suffisants et l’Italie reste l’un des pays les plus endettés d’ Europe, mais la tendance s’est durablement inversée. De même, le déficit public, qui se situait à 11.1% en 1990 - et qui empêchait l’Italie de satisfaire aux critères de convergence indispensables pour entrer dans la zone euro - a baissé de façon remarquable pour atteindre les 3% réglementaires dès 1996.

"

...

« Au cours de son mandat, il [Berlusconi] s’est également attaqué à la baisse du chômage en flexibilisant le marché du travail italien. Ainsi le chômage a baissé de façon significative, passant de 11,2% début 2000 à 7,7% en 2005. Cette baisse est d’autant plus remarquable qu’au même moment, la croissance italienne était en panne. Ainsi l’OCDE dans son Etude économique de l’Italie, 2005 signale que « plus d’emplois ont été crées durant les années de récession 2001 - 2004 que lors des quatre années précédentes de croissance plus rapide du PIB »


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