Les deux choses que Berluconi craint le plus, dit-on en Italie, c’est la maladie et la justice.
Je vous rappelle le lapsus de Sarkozy pendant sa campagne électorale : « Je n’aime pas la justice »
Même remise à l’endroit, cette phrase dénote un réel problème : qui en effet, a besoin de dire qu’il n’aime pas l’injustice, sinon celui qui craint que l’on en doute ? Et les raisons qui font que l’on en doute pullulent !