en tout cas, c’est sûr que, sans internet, en cas de révolte légitime, on va pas faire long feu...
très dur de s’organiser, bien visé l’auteur, c’est un problème absolu sauf en cas d’unités d’action déjà constituées au moment du black-out...
ce qui est facile derrière un clavier devient très complexe dans la vraie vie, hein les geeks ?
il est peut-être temps de respirer l’air du dehors pour ne pas oublier son parfum.