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jesuisunhommelibre jesuisunhommelibre 12 mars 2011 19:26

Quand un système ne produit que de la misère, il est normal qu’il disparaisse !

La pensée socialiste est née au XIX siècle, à une époque où la science semblait pouvoir tout résoudre. Il suffisait de bien étiqueter pour faire tout fonctionner.

A la même époque, et sur un schéma strictement identique, naissait le racisme : Une théorie pseudo-scientifique qui créer des strates arbitraires dans la population puis élabore une hiérarchisation de valeur entre ces différents groupes. (Je viens de définir aussi bien le racisme que le socialisme).

Quand on bâti une philosophie politique sur des principes de violence, de haine et de mépris, il ne peut rien en sortir de bon, même si, superficiellement, cela peut sembler généreux.

Le mépris, c’est de considérer un groupe humain comme incapable de se prendre en mains : Les plus pauvres, par exemple, mais cette attitude existait déjà quand les leaders de gauche (Jules Ferry) glosait sur les vertus civilisatrices de la colonisation.

La violence, quand sous prétexte de créer une monde meilleur, on vole beaucoup aux uns, pour donner un peu aux autres, tout en se gardant la meilleure part. La confusion est de croire qu’uniformité est un synonyme de justice, alors que ce n’est qu’un rêve totalitaire. Le vol organisé d’un état est la forme la plus perverse de l’esclavagisme.

La haine, enfin, quand on lit ou entend les critiques des tenants de la pensée de gauche parler de ceux qui ne pensent pas comme eux. Ils sont nécessairement de sales égoïstes, des requins assoiffés de sang, des affameurs. Et tant pis si les faits donne raison aux seconds : Alors qu’il y a deux cents ans, la pauvreté était la chose la plus répandue sur terre, comment ne pas constater que ce sont les pays qui ont adopté une économie basée sur le libre échange qui ont vu l’ensemble de leur population s’enrichir, alors que les pays s’arque boutant sur un protectionnisme d’un autre âge, ou sur une gestion planifiée des ressources ont maintenus leurs population dans la pauvreté et la dépendance.

Quand un libéral ou un conservateur (ne pas confondre) critique un socialiste, il ne le traite pas de monstre pervers, il dit simplement que sa création est une perversion.
A contrario, quand un socialiste parle des libéraux, c’est pour vomir sa haine en lui vouant aux gémonies en lui octroyant les motivations les plus noires. C’est donc bien de haine qu’il s’agit.

Donc, quand l’auteur annonce la fin de la gauche, cela ne peut réjouir ceux qui ne supportent plus de voir la population méprisée, le chômage s’aggraver et le pays s’enfoncer dans la dette sur le dos de nos enfants.

Cela pourrait annoncer qu’enfin, au delà des ratiocinations, les citoyens voyant les pays qui se développent le plus harmonieusement, décident, humblement, de s’en inspirer.

Je ne peux qu’espérer que vos augures seront justes.


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