Salut, Brieli.
Merci pour tous ces exemples qui montrent que, désormais, c’est le règne du grand n’importe quoi, directement imposé par la course aux profits juteux d’une minorité.
Concernant Singapour, si je connais ce petit état (intéressant à bien égards), je n’ai en revanche pas fréquenté son Carrefour, préférant nettement en matière alimentaire les nombreux food-courts locaux.
Pour ce qui est des commerces installés en centre-ville dans des immeubles de caractère aux façades classées, sûr que cela doit très bien marcher, notamment auprès des clientèles de type bobo, toujours en recherche de lieux branchés, fussent-ils dédiés à la vente de packs de bière ou de produits B.O.F. industriels !
Bonne journée.