Combien de fois faudra-t-il vous dire, rocla, que vous n’avez aucun argument à opposer à mes interventions ? Jamais ? Et que vous en êtes lamentablemnt réduit à me parler comme un personnage imaginaire et qui hante vous rêves, et sur lequel vous projetez votre bile et votre peur ?
Vous seriez pitoyable, rocla, si vous n’étiez pas un poison dangereux.