Ignorant la précarité du travail, l’insécurité économique, la paupérisation générale ... l’auteur continue son plaidoyer pour le capitalisme. Infatigable.
Les chiffres s’envolent, les prix diminuent, les profits d’une ultra minorité se mettent sur orbite ... Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
L’auteur doit faire partie de ceux qui rêvent de faire partie des « gagnants » (ou profiteurs) du système ? A moins que ...
Six millions et demi de personnes qui gagnent moins de 750€/mois, des dizaines de milliers de chômeurs européens avec autant de situations précaires ou catastrophiques, un milliard d’humains qui ne mangent pas à leur faim ... peu importe, le capitalisme triomphe...
Excusez moi un instant, je vais vomir ...