TEPCO et le gouvernement japonais ont toujours le fol espoir que l’iode radioactif qui contamine cette nappe phréatique aurait ruisselé par des fissures du sol et de la roche à proximité immédiate des bâtiments, à la suite de l’arrosage et de l’inondation des réacteurs.
Ils font encore le pari insensé, ces criminels, que ceci ne serait toujours pas la signature de la fusion du ou des coeurs des réacteurs, et du percement de leur assises en béton par le corum en fusion.
Quitte ou double !? 