Je ne suis pas loin de partager votre point de vue sur la question, et suis moi-même d’avis qu’une langue progresse non par la loi, l’interdit ou la volonté politique, mais par le fait qu’elle est « défendue et illustrée » par des gens de bien. Ce fut le cas jadis, plus maintenant. Tant que BHL écrira en français et Chomsky en anglais, notre vieille langue ne suscitera que l’intérêt poli des polyglottes, et l’indifférence des autres.
InB4 krokodilo