Bonjour, Mjgd.
Il ne faudrait surtout pas aller trop vite en besogne, pas vendre la peau de l’ours. En détresse, l’esquif de l’UMP est précisément un radeau, pas encore le Titanic. Et le propre d’un radeau, fût-il de la Méduse, est de flotter, pas de couler...
Tout reste à faire, et si la gauche semble avoir une superbe opportunité de victoire en 2012, celle-ci reste conditionnée à plusieurs impératifs :
1) éviter la multiplication mortifère des candidatures ;
2) faire des primaires socialistes un moment démocratie et non d’affrontement ;
3) unir ses forces et sa détermination entre les deux tours de manière claire.
Bref, rien n’est encore joué. Croisons les doigts...