Un temps j’avais évoqué le goudron et les plumes pour illustrer la fin du périple, mais le radeau de la méduse est bien trouvé, et même s’il flotte - contrairement au Titanic - c’est que les dernières grosses vagues ne sont pas encore arrivées pour retourner l’esquif en cours de délabrement, et attention au « tsunami » toujours possible (Karachi et autres joyeusetés financières en cours de mûrissement) !!!