Bien d’accord... On n’est jamais trop prudent...
« l’homme africain n’est pas assez entré dans
l’Histoire. (...) Le problème de l’Afrique, c’est qu’elle vit trop le
présent dans la nostalgie du paradis perdu de l’enfance. (...) Dans cet
imaginaire où tout recommence toujours, il n’y a de place ni pour
l’aventure humaine ni pour l’idée de progrès ».
Sarkozy ne fait simplement que nous démontrer la véracité de son discours de Dakar...
A l’image du blanc : Kalash dans une main et medicaments dans l’autre...
Vous avez dit schizophrénie ?