Certes, « aurait ».
Ce qui veut dire qu’elle a eu besoin de ces témoignages (fournis sous la torture pour certains) pour prouver sa thèse.
Et donc qu’elle n’a pas réussi à trouver des preuves factuelles sur lesquelles s’appuyer.
Et oui : quand on a des preuves, on n’a pas besoin d’aveux.
Ah mais ils étaient si forts, ces terroristes, qu’ils n’ont laissé AUCUNE preuve derrière eux.
Faut de la méthode Coué mais on y croit.